Conférence "Carrière à l'international" - le débrief!!
26/05/2017
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Le Club V.I.E s’est réuni le 12 mai pour la conférence « Carrière à l’international » : une première pour notre club.
Cet événement a rassemblé des anciens VIE, nos partenaires de Business France et de la CCI mais aussi de nouvelles têtes : étudiants de la fac de Strasbourg, conseillère en alternance de l’EM. , 2 partenariats pour lesquels vos animateurs se sont beaucoup investis ces derniers mois !
Beaucoup d’entre vous sont revenus s’installer dans le Grand Est après une expérience plus ou moins longue à l’international et ne souhaitent plus repartir. D’autres se posent encore des questions.
Grâce aux témoignages de nos invités, Jean-François RIEFFEL, spécialiste des questions de l’emploi à l’international à l’APEC, Tanya PODVRSAN, International Sourcing Recruiter, Frédéric FUCHS et Caroline DJENDOYAN, récemment revenus en France après 12 ans à l’étranger, nous avons pu constater qu’un départ pour l’étranger peut s’envisager à n’importe quel moment de sa carrière, même en famille, pour peu qu’il soit bien préparé.
Caroline et Frédéric ont fait le choix de partir dès la fin de leurs études : ils ont d’abord tenté l’aventure en Australie dans le cadre d’un working holyday. Une année folle, pleine de rencontres, de découvertes : l’auberge australienne !
Puis de retour en France ils se posent vite la question de leur prochaine destination. Dublin semble alors être une destination propice pour trouver un emploi rapidement sans être bilingue en anglais. Décision prise, ils s’installent et trouvent un emploi en 3 semaines. Démarrage au bas de l’échelle, ils font leurs preuves et évoluent rapidement. 4 ans après leur arrivée, Frédéric se voit proposer un poste à Singapour par son employeur. Le couple n’hésite pas longtemps, étant donné la situation économique de la ville. Caroline trouve rapidement un travail sur place. Le couple travaille beaucoup mais en profite aussi pour voyager, les opportunités étant nombreuses autour de Singapour.
Une expérience formidable à entendre nos invités même s’il leur aura fallu un temps d’adaptation à la culture et la langue du pays.
Jean-François RIEFFEL et Tanya PODVRSAN ont également beaucoup voyagé au cours de leur carrière. Pour eux, même si un départ à l’étranger s’envisage plus fréquemment à la fin des études supérieures, du fait de l’absence de contraintes familiales, celles-ci ne doivent en aucun cas constituer un frein à l’expatriation.
Evidemment il est plus facile de l’envisager lorsque votre entreprise vous propose une opportunité dans l’une de ses filiales à l’étranger, dans la mesure où elle va déployer un dispositif d’accompagnement pour vous et votre conjoint.
Mais bonne nouvelle pour ceux qui ne souhaiteraient plus faire leurs valises : l’emploi des cadres en Alsace est excellent. A peine 4.5% de chômage.
En 2016, il y a eu 15 000 créations nettes de postes de cadres. Les ingénieurs, les profils techniques et commerciaux ont toujours le vent en poupe, mais la situation reste bonne pour tous les autres.
Les secteurs qui recrutent le plus sont les services et l’industrie et les premières zones de mobilités des travailleurs alsaciens sont l’Allemagne, la Suisse et le Luxembourg. Aujourd’hui, ce sont les entreprises internationales qui ont le plus de mal à recruter, leur premier critère de sélection n’étant pas les compétences mais la maîtrise de la langue ! Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire en sachant que :
Cet événement a rassemblé des anciens VIE, nos partenaires de Business France et de la CCI mais aussi de nouvelles têtes : étudiants de la fac de Strasbourg, conseillère en alternance de l’EM. , 2 partenariats pour lesquels vos animateurs se sont beaucoup investis ces derniers mois !
Beaucoup d’entre vous sont revenus s’installer dans le Grand Est après une expérience plus ou moins longue à l’international et ne souhaitent plus repartir. D’autres se posent encore des questions.
Grâce aux témoignages de nos invités, Jean-François RIEFFEL, spécialiste des questions de l’emploi à l’international à l’APEC, Tanya PODVRSAN, International Sourcing Recruiter, Frédéric FUCHS et Caroline DJENDOYAN, récemment revenus en France après 12 ans à l’étranger, nous avons pu constater qu’un départ pour l’étranger peut s’envisager à n’importe quel moment de sa carrière, même en famille, pour peu qu’il soit bien préparé.
Caroline et Frédéric ont fait le choix de partir dès la fin de leurs études : ils ont d’abord tenté l’aventure en Australie dans le cadre d’un working holyday. Une année folle, pleine de rencontres, de découvertes : l’auberge australienne !
Puis de retour en France ils se posent vite la question de leur prochaine destination. Dublin semble alors être une destination propice pour trouver un emploi rapidement sans être bilingue en anglais. Décision prise, ils s’installent et trouvent un emploi en 3 semaines. Démarrage au bas de l’échelle, ils font leurs preuves et évoluent rapidement. 4 ans après leur arrivée, Frédéric se voit proposer un poste à Singapour par son employeur. Le couple n’hésite pas longtemps, étant donné la situation économique de la ville. Caroline trouve rapidement un travail sur place. Le couple travaille beaucoup mais en profite aussi pour voyager, les opportunités étant nombreuses autour de Singapour.
Une expérience formidable à entendre nos invités même s’il leur aura fallu un temps d’adaptation à la culture et la langue du pays.
Jean-François RIEFFEL et Tanya PODVRSAN ont également beaucoup voyagé au cours de leur carrière. Pour eux, même si un départ à l’étranger s’envisage plus fréquemment à la fin des études supérieures, du fait de l’absence de contraintes familiales, celles-ci ne doivent en aucun cas constituer un frein à l’expatriation.
Evidemment il est plus facile de l’envisager lorsque votre entreprise vous propose une opportunité dans l’une de ses filiales à l’étranger, dans la mesure où elle va déployer un dispositif d’accompagnement pour vous et votre conjoint.
Mais bonne nouvelle pour ceux qui ne souhaiteraient plus faire leurs valises : l’emploi des cadres en Alsace est excellent. A peine 4.5% de chômage.
En 2016, il y a eu 15 000 créations nettes de postes de cadres. Les ingénieurs, les profils techniques et commerciaux ont toujours le vent en poupe, mais la situation reste bonne pour tous les autres.
Les secteurs qui recrutent le plus sont les services et l’industrie et les premières zones de mobilités des travailleurs alsaciens sont l’Allemagne, la Suisse et le Luxembourg. Aujourd’hui, ce sont les entreprises internationales qui ont le plus de mal à recruter, leur premier critère de sélection n’étant pas les compétences mais la maîtrise de la langue ! Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire en sachant que :
- Si vous maîtrisez 1 langue avec un niveau bilingue, vous aurez 3 fois plus de chances qu’un autre candidat de trouver un emploi
- Si vous maîtrisez 2 langues avec un niveau bilingue (ou approchant), vous aurez 6 fois plus de chances qu’un autre candidat de trouver un emploi
N’oubliez pas qu’en Alsace, l’allemand est une langue fortement demandé et que les germanophones ne courent pas les rues…
Pour finir, un conseil avisé de Tanya pour vos futures recherches de postes : Stop aux CVS sur lesquels le candidat détaille tout ce qu’il a fait : Show your results ! Be problem/solution oriented !
Bref….Be commercial of your expertise !
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Conférence "Carrière à l'international" - le débrief!!
2017-05-26 10:53:28
www.clubvie.fr
https://www.clubvie.fr/medias/image/15625187055b447a632981d.jpg
2017-05-30 10:53:28
2017-05-26 10:24:39
Elisa Geyer Stroh
Le Club V.I.E s’est réuni le 12 mai pour la conférence « Carrière à l’international » : une première pour notre club.
Cet événement a rassemblé des anciens VIE, nos partenaires de Business France et de la CCI mais aussi de nouvelles têtes : étudiants de la fac de Strasbourg, conseillère en alternance de l’EM. , 2 partenariats pour lesquels vos animateurs se sont beaucoup investis ces derniers mois !
Beaucoup d’entre vous sont revenus s’installer dans le Grand Est après une expérience plus ou moins longue à l’international et ne souhaitent plus repartir. D’autres se posent encore des questions.
Grâce aux témoignages de nos invités, Jean-François RIEFFEL, spécialiste des questions de l’emploi à l’international à l’APEC, Tanya PODVRSAN, International Sourcing Recruiter, Frédéric FUCHS et Caroline DJENDOYAN, récemment revenus en France après 12 ans à l’étranger, nous avons pu constater qu’un départ pour l’étranger peut s’envisager à n’importe quel moment de sa carrière, même en famille, pour peu qu’il soit bien préparé.
Caroline et Frédéric ont fait le choix de partir dès la fin de leurs études : ils ont d’abord tenté l’aventure en Australie dans le cadre d’un working holyday. Une année folle, pleine de rencontres, de découvertes : l’auberge australienne !
Puis de retour en France ils se posent vite la question de leur prochaine destination. Dublin semble alors être une destination propice pour trouver un emploi rapidement sans être bilingue en anglais. Décision prise, ils s’installent et trouvent un emploi en 3 semaines. Démarrage au bas de l’échelle, ils font leurs preuves et évoluent rapidement. 4 ans après leur arrivée, Frédéric se voit proposer un poste à Singapour par son employeur. Le couple n’hésite pas longtemps, étant donné la situation économique de la ville. Caroline trouve rapidement un travail sur place. Le couple travaille beaucoup mais en profite aussi pour voyager, les opportunités étant nombreuses autour de Singapour.
Une expérience formidable à entendre nos invités même s’il leur aura fallu un temps d’adaptation à la culture et la langue du pays.
Jean-François RIEFFEL et Tanya PODVRSAN ont également beaucoup voyagé au cours de leur carrière. Pour eux, même si un départ à l’étranger s’envisage plus fréquemment à la fin des études supérieures, du fait de l’absence de contraintes familiales, celles-ci ne doivent en aucun cas constituer un frein à l’expatriation.
Evidemment il est plus facile de l’envisager lorsque votre entreprise vous propose une opportunité dans l’une de ses filiales à l’étranger, dans la mesure où elle va déployer un dispositif d’accompagnement pour vous et votre conjoint.
Mais bonne nouvelle pour ceux qui ne souhaiteraient plus faire leurs valises : l’emploi des cadres en Alsace est excellent. A peine 4.5% de chômage.
En 2016, il y a eu 15 000 créations nettes de postes de cadres. Les ingénieurs, les profils techniques et commerciaux ont toujours le vent en poupe, mais la situation reste bonne pour tous les autres.
Les secteurs qui recrutent le plus sont les services et l’industrie et les premières zones de mobilités des travailleurs alsaciens sont l’Allemagne, la Suisse et le Luxembourg. Aujourd’hui, ce sont les entreprises internationales qui ont le plus de mal à recruter, leur premier critère de sélection n’étant pas les compétences mais la maîtrise de la langue ! Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire en sachant que :
Si vous maîtrisez 1 langue avec un niveau bilingue, vous aurez 3 fois plus de chances qu’un autre candidat de trouver un emploi
Si vous maîtrisez 2 langues avec un niveau bilingue (ou approchant), vous aurez 6 fois plus de chances qu’un autre candidat de trouver un emploi
N’oubliez pas qu’en Alsace, l’allemand est une langue fortement demandé et que les germanophones ne courent pas les rues…
Pour finir, un conseil avisé de Tanya pour vos futures recherches de postes : Stop aux CVS sur lesquels le candidat détaille tout ce qu’il a fait : Show your results ! Be problem/solution oriented !
Bref….Be commercial of your expertise !
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