Les pleurs toute la nuit, la fatigue, les cernes, les cheveux mal peignés… La maternité offre son lot de désagréments. “Et comme si ce n’était pas assez, ajoutez à cela une expatriation. C’est dans ces moments-là qu’on a besoin de l’aide de tout le monde, mais comment faire quand on vit dans un pays différent de celui de sa famille ?”, s’interroge le quotidien malaisien The Star.
Accueillir sa famille les bras ouverts
Gérer cette situation n’est pourtant pas impossible, il suffit de ne pas rester seul. Inviter ses proches à passer du temps chez soi est une très bonne initiative, en espérant même qu’ils restent le plus longtemps possible. Quitte parfois à prendre sur soi : “vous n’avez probablement jamais été aussi gentille avec votre belle-mère, ou aussi enthousiaste à l’idée d’entendre votre mère vous reprocher de mettre trop de crème pour le change sur les fesses de votre bébé”, ironise The Star.
La clé : se faire aider
Deuxième conseil : embaucher une aide à domicile, car se faire aider est indispensable. En fait, il faut absolument mettre en veilleuse l’envie de se débrouiller tout seul, juge le quotidien :
Souvenez-vous que chaque minute où votre bébé dort, vous devriez dormir aussi, même si ça ne laisse pas beaucoup de temps pour les tâches ménagères. Or il n’est pas recommandé de les faire en étant fatiguée : après tout il ne suffit que d’un tout petit bout de tissu rouge pour décolorer toute une lessive…”
Pas la peine de jouer au super-parent donc, surtout quand on est expatrié et qu’on doit faire face à d’autres défis.
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